Tout vient
à point à qui sait attendre... me voilà de retour ! Il y a
tellement d'hommes dans ce corps, qu'il devenait vital que je m'en
extirpe. De toute façon les femmes ont toujours eu de l'avance sur
les hommes... il y a bien quelques gourdasses, mais à même QI la
femme reste inéluctablement supérieure de par son intelligence...
oui parce que de par son physique c'est moins vrai ! Elle est
plus gracieuse, plus élégante, plus douce... jusqu'à ce que son
mari lui brise la mâchoire et quelques côtes pour n'avoir pas
rapporté du marché la bonne variété de pomme... celle qu'il aime
tant ! Et bonne pomme que tu es (oui c'est une rime pauvre !),
tu t'excuses même de cette honteuse erreur !
Cette
introduction me rappelle une petite anecdote fraîchement vécue :
Mère célibataire d'une quarantaine d'année, séparée d'un mari
violent qui séjourne en prison pour avoir conduit sans permis, elle
élève ses deux enfants de 6 et 10 ans dans un appartement HLM. Elle
redoute le jour de sortie du dit mari, se rappelant les marques
d'affection que même le temps n'a pu effacer de son corps !
Tellement effrayée par son tortionnaire, que chaque soir, avant de
se coucher, elle place son meuble de télévision juste devant sa
porte d'entrée... cette alarme de fortune peut, pense-t-elle, lui
faire gagner quelques précieuses minutes... Imaginer la terreur
quotidienne que vit cette femme pour en arriver là !
Malheureusement, moins d'un mois après sa libération, voilà que ce
furieux parvient à mobiliser sa proie sous le poids de sa
sauvagerie... Ce barbare sanguinaire a frappé cette femme, sur le
sol de sa cuisine, par plus de dix coups de couteau, sous les yeux de
sa fille aînée, pendant que le plus jeune se cachait sous son lit.
À chaque nouvelle entaille, cette mère tentait de retenir la lame
qui lacérait sa chair ; mais son bourreau lui sectionnait les
deux premières phallanges lorsqu'il retirait l'arme de son corps
meurtri. Dans un élan de survie, elle parvint à l'étourdir, le
temps de rammasser ses huit bouts de doigts et de s'enfuir dans la
rue.
Alors !?
Sympa non ?! Cette histoire nécessite tout de même quelques
précisions. D'abord ce n'est pas une légende urbaine ou une
histoire de comptoir ; nous travaillions ensemble avant cette
tragédie. Son absence du mardi, puis du mercredi, puis du jeudi,
sans le moindre signe de vie, a fini par nous inquiéter ! Les
coups de couteau sont passés à quelques centimètres des différents
points vitaux... elle est passée à deux doigts de la mort... enfin
huit pour être exact ! Ses enfants sont en pleine forme :
l'aînée s'oriente vers une carrière de dépressive chronoque à
tendance sucidaire, alors que le plus jeune sera probablement
l'incarnation de Dexter (après la carnage, la cuisine familiale
ressemblait très nettement au conteneur où est né ce charmant
tueur en série). La mère garde quant à elle quelques souvenirs à
vie de cette visite improvisée ; plus d'une dizaine de coups de
couteau dans le torax et le cou, sans compter les, un, deux, trois...
sept, huit doigts greffés ! Tous n'ont pas tenu, mais pour les
plus tenaces, ils bougent... un peu. C'est pas comme si elle en avait
vraiment besoin !
Et le mari
dans tout ça ! Ce sale fils de proxénète ! Oui, je
revisite nos insultes car je les trouve un peu inexactes ; car
si on y réfléchit bien, les putes, elles ne font pas ça par
plaisir ! Non, non, je vous assure... jamais ! N'en
déplaise à tous ces porcs, elles font ça contre leur gré, pour
vivre (ou survivre) ! Je vous laisse imaginer l'état des
clients qui sont obligés de payer pour assouvir leurs vils
instincts...
...et ensuite vous viendrez me dire si vous, vous prendriez plaisir ! Pour conclure, le proxénète ressemble davantage que la pute, à la plaie purulente de nos bas quartiers, que nous souhaiterions éradiquer. Éradiquer, mais avec autant d'élégance que l'exige l'exercice d'un si beau métier... par infection mortelle suite à l'introduction de cure-dents en fer rouillé (ça n'existe pas mais il faudrait en inventer pour l'occasion) dans tous ses orifices, car c'est à peu près la douleur que doivent ressentir ses captives lors de leurs sacrifices. Mais revenons-en à notre sujet premier, le mari ! Qu'a-t-il bien pu faire lorsqu'il a repris connaissance ?! Eh bien vous ne me croirez peut-être pas, mais submergé par le remords il a décidé de se suicider... au Paic citron ! Après quelques bulles on lui a purgé l'estomac, mais rien de plus... Cet acte risible me laisse soupçonner le pire. Conscient de son avenir incertain, causée par l'insoumission de la fuyarde, il s'est imaginé pouvoir adoucir le futur jury d'assise, en plaidant le désespoir ! « J'ai même voulu mettre fin à mes jours ! ».
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Je vais te défoncer !! |
...et ensuite vous viendrez me dire si vous, vous prendriez plaisir ! Pour conclure, le proxénète ressemble davantage que la pute, à la plaie purulente de nos bas quartiers, que nous souhaiterions éradiquer. Éradiquer, mais avec autant d'élégance que l'exige l'exercice d'un si beau métier... par infection mortelle suite à l'introduction de cure-dents en fer rouillé (ça n'existe pas mais il faudrait en inventer pour l'occasion) dans tous ses orifices, car c'est à peu près la douleur que doivent ressentir ses captives lors de leurs sacrifices. Mais revenons-en à notre sujet premier, le mari ! Qu'a-t-il bien pu faire lorsqu'il a repris connaissance ?! Eh bien vous ne me croirez peut-être pas, mais submergé par le remords il a décidé de se suicider... au Paic citron ! Après quelques bulles on lui a purgé l'estomac, mais rien de plus... Cet acte risible me laisse soupçonner le pire. Conscient de son avenir incertain, causée par l'insoumission de la fuyarde, il s'est imaginé pouvoir adoucir le futur jury d'assise, en plaidant le désespoir ! « J'ai même voulu mettre fin à mes jours ! ».
Pour tous
ces répugnants salopards, et pour notre plus grand bonheur à
toutes, je propose une courte gamme de suicides, à la fois efficace
et originale, car il m'attriste de ne pouvoir les aider moi-même à
crever la gueule ouverte :
- Sur une aire d'autoroute, s'accrocher les pieds à une boule de remorquage et attendre patiemment que toute la petite famille est finie de pisser.
- Taillader l'ensemble de son corps avant de se jeter dans un nid de fourmis carnivores.
- Se pendre par les pieds avec la tête dans l'eau... épuisement = noyade
- S'installer à mi-cuisse sur un rail de chemin de fer, et patienter...
Je ne sais
pas combien d'années cet immonde bâtard va moisir derrière des
barreaux, mais j'ose espérer qu'il sera sodomisé par les détenus puis éviscéré vivant inculpé pour meurtre et non
pour tentative de meurtre... car cette femme n'est pas en vie parce
qu'il ne l'a pas tué, mais parce qu'elle ne s'est pas laissée
assassiner ! La nuance est considérable ! Au regard de ses
mutilations, elle devrait être six pieds sous terre, mais elle a
survécu...
Cette
charmante anecdote m'est inspirée par la journée de
la femme. Une seule putain de journée dans l'année ! Alors
savourez-la Mesdames ! Une journée où monsieur décide
exceptionnellement de faire la vaisselle, la lessive, ou de ne pas
vous tromper ! J'ai lu pour l'occasion quelques blogs de mes
consœurs, parfois révoltés, parfois insouciantes... et je me
laisse aller à oublier un temps qui je suis, et d'où je viens...
moi aussi je veux jouer... alors je m'invite chez Céleste,
sans la moindre gêne...
11
réponses à tes questions :
1-
Si je devais avoir un super pouvoir, je pourrais castrer
n'importe quel porc d'un simple sourire. Une bonne occasion pour moi
de retrouver enfin le sourire !
2-
Ce ne sera pas pour aujourd'hui...
3-
Un voyage au Pérou. Une colique frénétique et quasi
incontrôlable. Un restaurant, le plus proche... de l'autre côté de
la rue, mais je ne sais pas si j'y parviendrais à temps. Un arrêt
forcé en plein milieu de la rue, sinon c'est le drame ! Des
sueurs froides... Un petit restaurant, ouvert ou fermé, on ne sait
pas ; une fois entré je demande les toilettes... mais dans le
petit local qui précède celles-ci, le personnel joue aux cartes, ou
dort. Des toilettes juste de l'autre côté de cette porte... Ah
non ! Pas de porte ! Mais pas le choix... Je me résigne et
l'incontrôlable surgit dans toute sa splendeur, comme un orchestre
de cuivres dans une fosse septique. Ils sont là ! Juste là !
À chaque répit, je les entends parler... puis plus rien ! Il
me faudra ressortir... la tête baisse et le regard fuyant. Merci
pour votre hospitalité.
4-
La nouvelle génération de môme a une fâcheuse
tendance à « tiper » pour ponctuer leurs phrases. Le
prochain qui ose, je fais bouger sa langue par mon chien !
5-
L'insulte : Fils de proxénète cryptorchidien. Pas forcément
facile à placer...
6-
« Meurs ! Pourriture communiste ! »
7-
Il y a quelques années, sur la ville de Parcelles, mon
fils est rentré de l'école en me racontant une histoire
surprenante. Pendant que sa maîtresse écrivait au tableau, un de
ses collègues est entré discrètement dans la classe, en faisant
signe aux enfants de se taire... il s'est approché de leur maîtresse
et l'a embrassé dans le cou... il s'est pris ce que l'on peut
appeler « une claque réflexe ». Peu concluant comme
technique de drague... Il a été changé d'école l'année suivante, avis aux
amatrices !
8-
Si c'est un rêve, je dirais sans hésiter les
îles Galapagos...
9-
Nou la Blogfish, nouvelle star du porno.
Rubrique: creampie
10-
Je suis, fourmi dans une librairie ou dans une cave à vin, sinon
relativement cigale comparé à certain(e)s de mes congénères.
11-
Mon idéal masculin : DSK pendu par les couilles.
Mon idéal féminin : Lara Fabian pendue par ses
cordes vocales.
Pour les
amateurs (amatrices) de sensations fortes, faites-vous plaisir :
1-
Si vous deviez être un organe ?
2-
Le mot le plus érotique ?
3-
La pire blague ?
4-
Un souvenir nostalgique ?
5-
Si vous deviez gagner un jour, que souhaiteriez-vous
gagner ?
6-
Un vêtement à banir ?
7-
Une couleur inconnue ?
8-
Une erreur à ne plus commettre ?
9-
Ce qui vous a le plus marqué ? (je n'ai pas plus
vague!)
10-
Si vous pouviez revivre un événement du passé, toutes
époques confondues ?
11-
Quelle photographie souhaiteriez-vous pouvoir faire ?
Nousantra
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